Cinéma : A ceux qui nous ont offensés (critique)

Adam Smith nous montre au travers de ce film la vie de gens du voyage. Ceux-ci sont très soudés famille et sont des malfrats qui commettent nombreux méfaits.

Ce film est à moitié traité sous forme drame mais aussi policière.

La famille, avec un père très autoritaire joué par Brendan Gleeson, dirige son monde et se heurte parfois à son fils interprété par Michael Fassbender. Ces gens sont coupés de la société et commettent larcins sur larcins. On assiste plus à une confrontation père et fils qui est le vraiment le thème central de ce film.
J'ai trouvé que ce long métrage vaut plus par l'interprétation que par l'histoire qui est parfois répétitive.

Un langage particulier dans un monde où se côtoient un père trop dur, un fils avec sa femme et ses enfants qui voudraient partir vivre un ailleurs,  un fou, trop fou même.... Un monde particulier où l'on se perd un peu.
A ceux qui nous ont offensés vaut surtout pour une bonne musique, des courses poursuites et des acteurs plus vrais que nature avec une mention toute particulière à Michael Fassbender qui arrive à se mouler dans chacun de ses rôles et toujours nous surprendre.

Pour les amateurs de ce genre
A CEUX QUI NOUS ONT OFFENSES
Titre original : Trespass Against Us
Réalisé par Adam Smith
Avec : Michael Fassbender, Brendan Gleeson, Lyndsey Marshal, Sean Harris
Distribué par The Jokers / Les Bookmarkers
Genre : Drame, policier
Nationalité : Américain
Durée : 1 h 39
En salle le 1er mars 2017
Le synopsis

Les Cutler vivent comme des hors-la-loi depuis toujours dans une des plus riches campagnes anglaises, braconnant, cambriolant les résidences secondaires et narguant la police. Luttant pour faire perdurer leur mode de vie, Chad est tiraillé entre les principes archaïques de son père et la volonté de faire le nécessaire pour ses enfants. Mais la police, les traquant sans relâche, l’obligera peut-être à choisir entre sa culture et le bonheur des siens…



Copyright The Jokers / Le Pacte

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CONVERSATION

1 commentaires:

  1. Ta critique est mitigée, j'en ai lu une autre comme la tienne. Je vais passer mon tour ( tant pis pour Fassender)

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