DAME SKARLETTE

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à février 29, 2020

Après nous avoir proposé "On voulait tout casser", "Le fils à Joe", Philippe Guillard revient dès le 4 mars prochain avec une comédie PAPI-SITTER

Synopsis :

Franck et Karine sont obligés de confier leur fille Camille, censée réviser son bac, à son grand-père André, gendarme retraité et psychorigide à souhait. La situation se gâte quand l'autre grand-père, Teddy, ancien gérant de boites de nuit peu fréquentables, débarque à l'improviste ! La cohabitation entre les papis s'avère plus que compliquée et Camille va profiter de leurs querelles pour vivre sa vie comme elle l'a décidé...

Fidèle à ses acteurs, tout comme dans le fils à Joe, on retrouve Gérard Lanvin et Olivier Marchal. A la place d'un jeune comédien, c'est d'une jeune et fraîche actrice qui tiendra l'un des rôles principaux : Camille Aguilar qui a déjà 2 ans de carrière derrière elle avec des rôles dans des films et téléfilms.

Voilà le genre de film que j'aime voir de temps à autre et qui me fait du bien. Pas de prise de tête, une histoire simple mais qui tient la route. On rigole, et les deux rivaux, puis comparses, que sont Gérard Lanvin et Olivier Marchal en papis vieillissants, nous entraînent dans leur délire et par les temps présents, visionner un long métrage convivial et avec beaucoup de tendresse, ça ne se refuse pas, du moins pour ma part.

Beaucoup de rythme dans ce long métrage, des situations drôles, bien entendu le réalisateur en ajoute, mais quelque part, on s'en fiche. Le cinéma est aussi fait pour se détendre !!!

Même si la presse spécialisée est moins objective avec ce genre de long métrage, c'est parfois le style que le public recherche et avec Papi-sitter, il s'y retrouvera.

Cette gentille comédie a pour but de distraire et elle y arrive ce qui est déjà pas mal. Un film populaire c'est ainsi que l'on pourrait résumer Papi-Sitter.

PAPI-SITTER
Réalisé par Philippe Guillard

Avec : Gérard Lanvin, Olivier Marchal, Camille Aguilar, Jean-François Cayrey, Anne Girouard, Philippine Leroy-Beaulieu, Laurent Olmedo, Souad Arsane, Paco Fuster

Distribué par Gaumont

Genre : Comédie

Origine : France

Durée : 1 h 37

En salle le 4 mars 2020

#papisitter

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à février 28, 2020

Alejandro Landes est le réalisateur de Monos, film qui sera sur les écrans le 4 mars prochain.

Synopsis :

Dans ce qui ressemble à un camp de vacances isolé au sommet des montagnes colombiennes, des adolescents, tous armés, sont en réalité chargés de veiller à ce que Doctora, une otage américaine, reste en vie. Mais quand ils tuent accidentellement la vache prêtée par les paysans du coin, et que l'armée régulière se rapproche, l'heure n'est plus au jeu mais à la fuite dans la jungle...

Il est difficile de classer Monos dans une catégorie. Autant le dire de suite je n'ai pas du tout été réceptive à ce film et je vous ferai une rapide critique car elle ne sera pas objective.

Beaucoup de commentaires sont dithyrambiques par rapport à ce long métrage, qui a d'ailleurs reçu de nombreux prix. J'ai dû passer à côté ou tout simplement ne pas aimer ce genre de cinéma, car mis à part de fantastiques images, qui auraient dû être plus nombreuses, car esthétiquement c'est très bien filmé, j'ai trouvé Monos trop violent, brouillon, j'avouerai même que je me suis ennuyée. Aucune information sur le pourquoi du comment. Pourquoi ce groupe de jeunes gens armés ? Pourquoi cette femme est-elle prise en otage ?

Ce film m'a presque mise mal à l'aise et j'avais hâte qu'il se termine.

Quand on ressort ainsi d'une projection, il est difficile de faire une critique positive. Donc un conseil, allez le voir et faîtes-vous votre propre opinion car pour ma part elle est très négative, vous viendrez me dire ce que vous en avez pensé. Ce qui est indéniable, c'est qu'en bien ou en mal, Monos ne vous laissera pas indifférents.

MONOS

Réalisé par Alejandro Landes

Avec Julianne Nicholson, Moisés Arias, Sofia Buenaventura, Julián Giraldo, Karen Quintero, Laura Castrillón, Paul Cubides, Deiby Rueda, Sneider Castro, Wilson Salazar, Jorge Román

Distribué par Le Pacte

Genre : Drame, aventure

Origine : Colombie, Argentine, Pays-Bas, Allemagne, Suède, Uruguay

Durée : 1 h 43

En salle le 4 mars 2020

Crédits photos et vidéo : Le Pacte - Stela Cine

#monos

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à février 27, 2020

En ce qui concerne les défilés Haute Couture de janvier dernier, je vais terminer avec La Métamorphose. J'apprécie réellement cette marque depuis que j'ai pu la découvrir avec Eden Gardens, ou Rouge Amour.

De plus, l'ambiance était tellement fun avec Vaimalama Chaves, Miss France 2019, devenue chanteuse et qui proposera un album du nom de "Good Vaïbes" le 3 avril prochain. Le défilé était donc placé sous le signe de la chanson avec la belle qui a accompagné toutes les tenues avec différentes chansons de son répertoire.

Le nom du défilé de la marque cette saison est "Les couleurs de l'Ame".

“ J'ai dans mon cœur, j'ai sous mon front

Une âme invisible et présente :

Ceux qui doutent la chercheront ;

Je la répands pour qu'on la sente.

Partout scintillent les couleurs,

Mais d'où vient cette force en elles ?

Il existe un bleu dont je meurs,

Parce qu'il est dans les prunelles.

Tous les corps offrent des contours,

Mais d'où vient la forme qui touche ?

Comment fais-tu les grands amours,

Petite ligne de la bouche ?

Partout l'air vibre et rend des sons,

Mais d'où vient le délice intime

Que nous apportent ces frissons

Quand c'est une voix qui l'anime ?

J'ai dans mon cœur, j'ai sous mon front

Une âme invisible et présente :

Ceux qui doutent la chercheront ;

Je la répands pour qu'on la sente. ”

Sully Prudhomme

La collection est dédiée à la femme en tant que muse, évanescente inspiration pour le poète. Cette transparence de tules est sublimée par les mousselines, les soies et satins, les taffetas, en un tourbillon de couleurs vraies et de pastels...

Deep in my heart, behind my brow,

There is a soul, invisible but manifest:

The suspicious will look for it;

I spread it, then feel it !

Everywhere sparkle the colors,

But where does this power come from?

There is a blue who kills me,

Because the eyes are made of it.

Each body has its outline,

But where does the touching shape come from?

How do you make the great loves,

Small line of the mouth?

The humming air makes sounds,

But where does the close delight come from

Which these thrills bring

When a voice lights it up ?

Deep in my heart, behind my brow,

There is a soul, invisible but manifest:

The suspicious will look for it;

I spread it then feel it !

Sully Prudhomme

The collection is a tribute to the woman as a muse, evanescent inspiration for the poet. This transparency of french tules is sublimated with the chiffon, the silk, satin and taffeta, in a whirl of pastel true colors...