Si je vous dis : Antigone, Etéocle, Polynice ou encore Ismène, vous pensez forcément à la mythologie Grecque et pourtant ce jour c'est bien d'un film dont je viens vous parler. Derrière la caméra une femme Sophie Deraspe qui après la lecture d'Antigone a été littéralement séduite et la retranscrite au cinéma mais d'une manière toute autre et de façon contemporaine.
Synopsis :
Antigone est une adolescente brillante au parcours sans accroc. En
aidant son frère à s'évader de prison, elle agit au nom de sa propre
justice, celle de l’amour et la solidarité. Désormais en marge de la loi
des hommes, Antigone devient l’héroïne de toute une génération et pour
les autorités, le symbole d’une rébellion à canaliser…
Le rôle d'Antigone est tenue par Nahéma Ricci bouleversante d'authenticité. Elle est exceptionnelle, naturelle. Elle dégage une incroyable aura tout en restant candide.
A ses côtés ses frères de cinéma, Polynice (Rawad El-Zein), Hétéocle (Hakim Brahimi) tous deux faisant leur début au cinéma comme Nahéma Ricci.
On peut voir en amoureux d'Antigone, Antoine Desrochers qui interpète Hémon. Ce dernier est un habitué du grand écran. Avec déjà 10 ans de carrière on a pu le voir notamment dans "Juste la fin du monde" et dernièrement "Jeune Juliette". Un acteur Canadien sur qui il faut compter.
Antigone est un de ce film qui touche. Il parle d'intégration, de justice mais surtout de la famille et du sens du sacrifice et de l'amour que l'on peut porter à ses proches.
Jusqu'où peut-on aller dès lors que l'on est attaché à sa famille. Transgresser les lois même si l'on sait que les personnes de son sang ont torts et sont en faute.
La réalisatrice ose transposer la tragédie Grecque, mais également les œuvres qui ont déjà été proposées par rapport à Antigone en proposant un long métrage avec un réalisme social.
La musique a une place importante dans ce long métrage. Chœurs antiques, chants, rythmes viennent apporter un certain mouvement à Antigone.
Ce film puissant est audacieux. Il nous propose le combat d'une jeune fille par amour pour sa famille et jusqu'où celle-ci peut aller dans ses choix quitte à aller affronter un système mis en place dans notre société.
ANTIGONE
Réalisé par Sophie Deraspe
Avec : Nahéma Ricci, Rachida Oussaada, Nour Belkhiria, Rawad El-Zein, Hakum Brahimi, Paul Doucet, Antoine Desrochers, Benoît Gouin, Jean-Sébastien Courchesne
Distribué par Les Alchimistes
Genre : Drame, fiction
Origine : Canada, Québec
Durée : 1 h 49
En salle le 2 septembre 2020
Crédits photos et vidéo : Ligne 7 - Les Alchimistes Films
Si je vous dis : Antigone, Etéocle, Polynice ou encore Ismène, vous pensez forcément à la mythologie Grecque et pourtant ce jour c...
Jam Fevers'impose single après single comme l'un des plus brillants
producteurs et faiseurs de hits de l'époque. Après avoir fait danser le
public avec Tonight et Esta Noche, Jam Fever a sorti un nouveau tube,
Kumbaya. Sur ce titre, il est accompagné d’Axel Tony, Kelvin et de
Richie Loop. Avec ses 6 millions de vues, Jam Fever revient nous ambiancer et faire monter le mercure.
Depuis cet été, Jam Fever est de retour avec Mash Up Di Place
qui mixe parfaitement un son dancefloor et des influences exotiques. Ce tube estival est chanté par la diva jamaïcaine Cé'Cile, l'une des plus grandes chanteuses de dancehall jamaicaines. Cette bombe est bien dans l'air du temps et des musiques urbaines actuelles.
Le DJ et producteur congolais dévoile un titre taillé pour les pistes de
danse et pour embellir l'été.
Tout prédestinait Jam Fever aux métiers
artistiques. Très jeune déjà, il s’est essayé à la danse, devenant
danseur hip-hop émérite, puis professeur, avant de se tourner vers la
musique. Du Congo de ses origines, à la Jamaïque devenue sa terre
d'élection, Jam Fever impose sa musique métissée et fusionnelle.
Son nom d’artiste Jam Fever – littéralement «la fièvre de la Jamaïque»
– est un clin d’œil indélébile à cette terre dont la culture l'a marqué
à jamais. En mixant sur les scènes des Caraïbes, de Cuba et du Mexique,
pays qu’il a le plus visité à ce jour, Jam Fever a su se créer un
répertoire sur mesure et se faire un nom. Et l'aventure se poursuit
aujourd'hui avec Mash Up Di Place.
Dès la première écoute, ce nouveau hit nous rappelle les tubes "made in jamaica" de Major Lazer et s'inscrit dans la mouvance des plus grand succès des producteurs électro comme David Guetta ou Dj Snake.
Jam Fever nous offre un titre et un clip d'une qualité exceptionnelle.
Avec Mash Up Di Place, le producteur congolais continue son
développement musical avec ce superbe titre up tempo qui va nous faire
danser cet été et même par la suite....
Crédits photos et vidéo : Jam Fever
Jam Fever s'impose single après single comme l'un des plus brillants producteurs et faiseurs de hits de l'époque. A...
Je vous donne le programme qui évoluera suivant les conditions sanitaires dans les mois à venir.
La programmation se voit dotée cette année d’une association à un artiste de saison, Jean-François Zygel.
Découvrez aussi les saisons des résidents permanents (Laurence Equilbey à la tête d'Insula orchestra, la Maîtrise des Hauts-de-Seine, l’Académie Musicale Philippe Jaroussky), et émerveillez-vous avec les orchestres français et étrangers (Grands Formats) qui vous proposent les plus grandes œuvres du répertoire, ou des groupes mythiques comme Take 6.
Assistez à des rencontres artistiques inédites : Cyrille Aimée et Lucienne Renaudin-Vary, Jean-François Zygel et Ibrahim Maalouf...
Et retrouvez aussi les plus grands noms du jazz et des musiques du monde. Enfin, vibrez avec des artistes novateurs et des projets exclusifs pour La Seine Musicale : à l’Auditorium Marie-Agnès Gillot, Jérémie Lippmann, Antonin Baudry... et sur la Grande Seine, Roméo et Juliette par Benjamin Millepied et Magic Mozart avec Laurence Equilbey et Insula orchestra dans une mise en scène de la Compagnie 14:20.
Comme vous le verrez, cette nouvelle saison sera riche, multiple et continuera de soutenir les artistes, les orchestres, les projets. Plutôt que de subir la crise, la Seine Musicale a décidé de s'adapter, d’inventer et de proposer à de grands musiciens d’inventer de nouveaux formats. Quelques surprises supplémentaires seront également annoncées à la rentrée.
AU PROGRAMME :
JEAN-FRANÇOIS ZYGEL, ARTISTE ASSOCIÉ
En sa qualité d’artiste associé pour la saison 2020-2021, Jean-François Zygel a conçu une programmation originale. Avec une brillante aisance, il ranime les grandes figures du panthéon musical dans ses inventions au piano : l’occasion de découvrir leur musique sous un angle nouveau. Un art du concert renouvelé et une démarche artistique à l’image de La Seine Musicale, où toutes les musiques se côtoient.
Les Samedis Zygel : rendez-vous où se mêleront répertoire et improvisation, époques et genres musicaux. Ces soirées verront défiler de grands interprètes et improvisateurs d’aujourd’hui, entre autres le trompettiste Ibrahim Maalouf, le mandoliniste Julien Martineau ou encore le pianiste Thomas Enhco.
L'Atelier de Jean-François : Comment inventer sans partitions, mélodies, rythmes et accords ? Jean-François Zygel propose un atelier convivial et chaleureux, destiné aux instrumentistes ayant déjà pratiqué l’improvisation et désireux d’en explorer les techniques. Ouvert au public. Entrée gratuite sur réservation
JÉRÉMIE LIPPMANN, SEINE LIBRE
La carte blanche de la série Seine Libre est confiée cette année à l’artiste et scénographe autodidacte Jérémie Lippmann. Metteur en scène devenu incontournable, il sait créer des univers à la fois singuliers et universels et conçoit chacun de ses spectacles comme une pause hors du temps.
Partage d’un songe
Le partage d’un songe est une parenthèse collective et onirique. C’est tout le projet de cette Seine Libre : unir des duos d’artistes pour se faire se rencontrer le texte et la musique. Chaque soirée voyagera ainsi à travers l’amour, le temps qui passe, le désir, les addictions. Stéphane Bern et Cut Killer, Joey Starr et une pianiste classique... sont parmi les premiers noms confirmés.
Éloquence à l’Assemblée
Les discours prononcés à l’Assemblée nationale sont faits pour être entendus. Il faut entendre Robespierre. Il faut entendre Hugo. Il faut entendre Aimé Césaire et Simone Veil.
Il fallait une voix, il fallait un cœur pour prononcer ces mots. Joey Starr nous restitue ces textes avec force et émotion. On entend le peuple gronder dans sa gorge.
RÉSIDENTS ET GRANDS FORMATS
Cette nouvelle saison sera également le moment pour le public de retrouver les résidents de la Seine Musicale : Insula orchestra dirigé par Laurence Equilbey, les jeunes pousses de la Maîtrise des Hauts-de-Seine et de l'Académie Musicale Philippe Jaroussky.
Laurence Equilbey et Insula orchestra ainsi que leurs invités promettent une saison riche en multiples événements musicaux... Outre Magic Mozart qui sera donné sur La Grande Seine en novembre 2020, Laurence Equilbey et Insula orchestra créeront La Nuit des Rois dans une mise en scène d'Antonin Baudry, permettront de se plonger à nouveau dans le répertoire Louise Farrenc et de Beethoven ou bien encore mèneront une soirée Double orchestre avec l'Akademie für Alte Musik Berlin. D'autre part, des noms aussi importants que le Concerto Köln, Franco Fagioli, Lea Desandre, Max Emanuel Cencic, Richard Galliano ou bien encore l'Orchestre National de Jazz, le Cincinnati Symphony Orchestra sous la direction de Louis Langrée seront invités à se produire sur la scène de l'Auditorium de La Seine Musicale
La série Grands Formats sera également l'occasion d'applaudir entre autres l’Orchestre des Champs-Elysées, les orchestres de Bretagne et de Pau Pays de Béarn qui animeront les soirées de cette programmation aux côtés des solistes qui font l’actualité classique Nicholas Angelich au piano, Anne Gastinel au violoncelle ou encore Liya Petrova au violon, pour n’en citer que trois. Puis ce sera l’Orchestre Symphonique des Flandres, l’Orchestre National Symphonique du Tatarstan, intensément slave, et la très célèbre Academy of St Martin in the Fields. Ce sont les plus belles pages du répertoire qui seront présentées tels concertos pour piano de Ravel, symphonies de Tchaïkovski, concertos pour piano de Bach, Symphonie n° 3 « Héroïque » de Beethoven ... .
LE CLASSIQUE DU DIMANCHE
Cette année, les mélomanes en herbe sont gâtés avec le retour du Classique du Dimanche et l’arrivée de nouveaux formats dédiés aux jeunes oreilles. Une heure top chrono pour découvrir et comprendre les mystères des chefs-d’œuvre de la musique de chambre, c’est le défi dominical que le pianiste Simon Zaoui relèvera encore cette année avec des complices triés sur le volet.
Le programme fait également la part belle au cinéma, muet à ses débuts, dont l’orchestre ou le piano met alors en relief les rebondissements. Karol Beffa, pianiste improvisateur, donnera la réplique musicale à Charlie Chaplin et Buster Keaton, les pères du comique sur le grand écran.
Entre autres :
Alice au Pays des Merveilles
Menu Best-of Beethoven
Ravel En Trio !
Ciné-concert Charlie Chaplin
Mozart enchanté par Insula orchestra
Schubert à la pêche à la Truite ! ...
JEUNE PUBLIC
Un programme pour les apprentis-spectateurs : des concerts pour faire «comme les grands» avec la musique d’un spécialiste du jeune public, le compositeur Marc-Olivier Dupin. Pour devenir un parfait mélomane, rien de tel que de commencer par des œuvres inspirées d’un conte ou d’une fable et où un récitant prend place sur scène. Marc-Olivier Dupin collabore régulièrement avec l’auteur de bande-dessinées Joann Sfar dont cette programmation reflète l'amitié.
Le Petit Prince
Animaux Limonade
Monsieur crocodile a beaucoup faim ...
JAZZ ET MUSIQUES DU MONDE
Fidèle à sa vision généreuse et ouverte du jazz, La Seine Musicale continue de surprendre avec un programme couvrant un large spectre de styles et de sensibilités.
Honneur aux dames avec la chanteuse Cyrille Aimée et la jeune prodige de la trompette Lucienne Renaudin Vary. Convaincue qu’une relation au long cours peut aussi susciter des projets inédits construits dans la confiance, La Seine Musicale a décidé d’inviter à nouveau le groupe vocal Take 6, mais aussi le pianiste André Manoukian.
Parmi les artistes les plus singulières des musiques du monde, Sona Jobarteh, chanteuse et joueuse de kora, fera résonner dans l'auditorium les mystères de cette harpe de l’Afrique occidentale.
Take 6
Elodie Frégé et André Manoukian
Cyrille Aimée invite Lucienne Renaudin Vary
Sona Jobarteh
China Moses et André Manoukian
Biréli Lagrène "Magic Fingers" avec Thomas Dutronc et Sylvain Luc
LA GRANDE SEINE
Cette saison sera aussi l'occasion de découvrir des productions attendues par le public, entre autres :
- Magic Mozart, un cabaret enchanté avec Insula orchestra dirigé par Laurence Equilbey, mise en scène de la Compagnie 14:20
- Roméo et Juliette par Benjamin Millepied et le L.A. Dance Project, création mondiale
- Faites de la danse ! dans le cadre de la Seine libre à Marie-Agnès Gillot
D'autres programmes sont prévus, mais seront dévoilés en temps voulu, et d'autres seront peut être ajoutés ou supprimés dans les mois à venir. N'hésitez pas à vous rendre sur le site de la Seine Musicale pour en savoir plus.
Starmania reviendra à partir du 11 novembre 2021 à la Grande Seine. Les réservations sont déjà ouvertes.
Conçue par le Directeur Artistique Paul Andrew, la campagne a pour but stimuler l'œil, animer l'esprit et remuer l’âme. Travaillant dans un studio londonien, il a façonné un portefeuille aux multiples facettes qui reflète la profondeur et la richesse des souliers Viva, du prêt-à-porter et des accessoires de la saison, y inclus le nouveau sac Viva Bow.
A propos de cette campagne :
Perspectives Campagne Automne Hiver 2020
Ce que vous voyez dépend d’où vous regardez. Comment vous voyez dépend de votre point de vue. L'impression que vous vous faites naît de bien plus qu'une relation de base entre le sujet et l'objet. Cherchez à voir et vous serez récompensé : l'attention portée est un investissement qui enrichit.
Salvatore Ferragamo présente une sélection de sa collection Automne Hiver 2020 conçue pour stimuler l'œil, animer l'esprit et remuer l'âme. Travaillant dans un studio londonien, le Directeur Artistique Paul Andrew a façonné un portefeuille aux multiples facettes qui reflète la profondeur et la richesse des souliers, du prêt-à-porter et des accessoires de la saison. Les natures mortes des accessoires clés : chaussures, sacs, lunettes et ceintures, sont filmées à travers des impositions symétriques défocalisées au premier plan, mettant l’œil au défi de rechercher son sujet. Ces accessoires sont placés en face de portraits en pied de trois modèles, Mariacarla Boscono, Malick Bodian et Luca Lemaire, portant des looks complets de la collection dont ces accessoires font partie. Ici aussi, il y a un jeu artisanal du premier plan sur l'arrière-plan, l'ombre et la forme colorée défocalisée s'imposent à l'image. La dynamique humaine entre les trois protagonistes, amplifiée par l'expression de leur robe, ajoute une autre couche à la tapisserie visuelle de la saison.
Cette série d'images, présentées en tandem, et dans lesquelles se jouent les conventions du premier et de l'arrière-plan, présente à la fois la précision et l'ampleur de cette collection. Du gros plan au portrait en pied, la gamme complète des œuvres d'art portables et chics d'Andrew est présentée dans des instantanés visuels au rendu intense. Le résultat est une galerie d'images saisissantes qui met pleinement en valeur le savoir-faire et l’esthétique de Salvatore Ferragamo. Un conte pour témoigner et rendre grâce à une collection à la fois belle, convaincante, et intemporelle.
Paul Andrew a déclaré : «Je voulais créer une campagne différente et colorée qui invite le spectateur à apprécier l'artisanat et la beauté de chaque pièce et à mesurer l’impact qu’elle peut représenter lorsque les mannequins sont habillés des pieds à la tête. C’est une campagne sur le rapport entre la profondeur et la surface, qui joue du premier plan sur l’arrière-plan de manière à inciter l’œil à se concentrer, à rechercher la beauté. Il y a également une interaction supplémentaire entre les personnalités de Mariacarla, Malick et Luca qui a apporté une profondeur et une dimension supplémentaires au rendu final des photographies. C'est le moment de remettre en question notre façon de regarder pour nous permettre de voir le monde à nouveau, et j'espère que cette collection servira à sa manière de déclencheur pour cette nouvelle ère».
Qu'il s'agisse des détails ou au contraire de la vision générale de la campagne, Salvatore Ferragamo se réjouit d’imaginer votre regard, et votre point de vue, pour l'automne hiver 2020.
Pour retrouver les anciennes campagnes Ferragamo je vous invite à cliquer (ici) ou (là).
Crédits photos et vidéo : Salvatore Ferragamo
Conçue par le Directeur Artistique Paul Andrew, la campagne a pour but stimuler l'œil, animer l'esprit et remuer l’âme. Tra...
Dans un jardin qu'on dirait éternel, est d'une réelle beauté. Réalisé par Tatsushi Ōmori, il est à déguster durant 1 h 40.
Adapté d'une oeuvre originale, publiée au japon en 2008, sous le titre "La cérémonie du thé" par Noriko Morishita, le livre est sorti aux Editions Marabout en France en août 2019.
Synopsis :
Dans une maison traditionnelle à Yokohama, Noriko et sa cousine Michiko
s’initient à la cérémonie du thé. D'abord concentrée sur sa carrière
dans l’édition, Noriko se laisse finalement séduire par les gestes
ancestraux de Madame Takeda, son exigeante professeure. Au fil du temps,
elle découvre la saveur de l’instant présent, prend conscience du
rythme des saisons et change peu à peu son regard sur l’existence.
Michiko, elle, décide de suivre un tout autre chemin.
Parmi les trois premières comédiennes, la regrettée Kiki Kirin pour qui ce fût le dernier rôle titre, mais quel rôle. Après nous avoir enchanté dans "Les délices de Tokyo", "Une affaire de famille", et tant d'autres films, elle interprète le Professeur Tadeka qui va initier les jeunes filles à la cérémonie du thé.
Tout en grâce, on suit ses lents mouvements avec les ustensiles traditionnels pour arriver à faire, suivant les saisons, le thé parfait. Une fois de plus impeccable, sa prestation est exceptionnelle.
Les deux jeunes filles qui vont s'initier à cet art sont Noriko (Haru Kuroki) et Michiko (Mikako Tabe).
Charmantes elles le sont, de bonne famille, délicates, elles font se plier de bonne grâce à cet apprentissage, même si au départ elles viennent plus pour se passer le temps. L'une va y prendre plus de plaisir que l'autre, et tout au long du film on va la voir se transformer et évoluer.
Ce long métrage est terriblement attractif, délicieux, et bien qu'il ne se passe rien d'extraordinaire, car on voit les mêmes gestes répétitifs afin d'atteindre la perfection, l'humilité que ce film nous propose, la zénitude qui s'en dégage, font que le temps s'écoule s'en même que l'on s'en rende compte.
Cet art du thé, est d'autant plus passionnant lorsque l'on apprécie ce breuvage. C'est dans cette oasis de paix, située dans un pavillon exigu que l'on va suivre les protagonistes accompagnée par une douce mélodie. A côté se trouve un merveilleux jardin où se promènent parfois les héroïnes.
Les saisons s'écoulent, les différents thés sont préparés, servis et bus, tout en dégustant des pâtisseries japonaises plus belles les unes que les autres. On découvre en même temps, les secrets et la vie de chaque personnage.
Cet ode au thé, reflète bien les us et coutumes du Japon où l'humilité est de mise et le respect de l'autre aussi. Ce rite initiatique nous transporte dans un autre monde et fascine, du moins m'a fascinée.
Un tel esthétisme lors de la cérémonie, du moment où la professeure, ou les élèves, vêtues de kimonos, utilisent avec délicatesse, des objets parfois ancestraux : le chakin, le fusuka, l'hishaku, le natsume, le chasen, etc... et de la magnifique et rare céramique qui ne sert parfois qu'une fois l'an.
De nombreuses citations inscrites en calligraphies Japonaises sur un mur - des Kakemono (rouleaux verticaux accrochés au murs) - illustrent bien le respect que ce pays porte à certaines valeurs.
Le réalisateur filme avec plaisir et pour le notre aussi, le pouvoir de la transmission entre générations.
J'ai en mémoire, alors que je buvais un thé, un homme qui m'avait dit : "la première tasse est amère comme la vie, la seconde mousseuse comme l'amour et la troisième sucrée comme la mort". (proverbe marocain).
Pour ce film je dirais qu'il ne ressemble en rien à cela il est simplement impérial. Après l'avoir visionné, une phrase vous reviendra peut-être en tête, afin de rendre votre quotidien plus joyeux : "chaque journée est une belle journée".
DANS UN JARDIN QU'ON DIRAIT ETERNEL
Titre anglais : Every day a good day
Titre original : 日 日 是 好 日
Nichinichi kore kôjitsu
Réalisé par Tatsushi Omori
Avec Kiki Kirin, Haru Kuroki, Mikako Tabe
Distribué par Art House
Genre : Drame - Spiritualité
Origine : Japon
Durée : 1 h 42
En salle le 26 août 2020
Crédits photos et vidéo : Art House
Dans un jardin qu'on dirait éternel , est d'une réelle beauté. Réalisé par Tatsushi Ōmori , il est à déguster durant 1 h 40. ...
Une voix cristalline, mais qui sait aussi être grave, posée et sûre d'elle. Une voix que l'on n'oublie pas et que l'on avait hâte de retrouver après plusieurs années d'absence.
The Dawn. «L’Aube». L’heure de la renaissance est venue pour Irma, 31 ans, née à Douala et Parisienne d’adoption, chanteuse et citoyenne du monde tel qu’il est aujourd’hui… mais aussi tel qu’on le rêverait.
On l’a découverte au tout début des années 2000 grâce à un label qui bouleversait alors la donne de l’industrie de la musique, My Major Company. Dans la foulée, Google avait choisi son morceau «I Know» pour sa campagne publicitaire. De quoi cartonner, et ça a été le cas. De quoi se poser des questions, également…
Revenons aux sources d’Irma Pany, au Cameroun. Ses parents sont des scientifiques mélomanes. Irma grandit en écoutant Ella Fitzgerald, Otis Redding, Bill Withers, Sarah Vaughan, Miles Davis, la musique traditionnelle camerounaise et des artistes comme Richard Bona… La pauvreté, la précarité, elle la voit et la ressent fort, tout comme elle comprend que le continent africain soit sous représenté dans le monde. «Très tôt, j’ai eu l’impression qu’en vivant à Douala, je faisais partie de ce ceux qu’on ne voyait pas.» La musique lui sert d’exutoire. A 7 ans, elle commence le solfège et le piano avec une professeure russe très rigoureuse. A 11 ans, elle pique la guitare de son père et se lance dans l’écriture de chansons, tous les jours, compulsivement.
A 15 ans, Irma débarque à Paris avec ses soeurs, dont sa jumelle, et se retrouve dans un lycée privé, strict et religieux. La violence du choc thermique et social développe son refus de courber l’échine. Le bac, elle le décroche avec mention Très Bien, enchaîne une prépa et une prestigieuse école de commerce – par respect pour l’investissement de ses parents, pour son propre désir d’obtenir un diplôme. Mais Irma est obsédée par la musique. En 2008, ses vidéos postées sur Youtube sont remarquées par My Major Company. On connait la suite, l’engouement général, le premier album, Letter to the Lord (2011) couronné par le public comme par la critique. Trois ans plus tard, elle enregistre Faces. Mais quelque chose ne tourne pas rond : «Je sens un manque de liberté : ne pas faire ce dont j’avais envie, ne pas travailler avec qui je veux, respecter des délais qui ne me conviennent pas...» S’ensuit une période de doutes, tant artistiques qu’existentiels.
C’est à Lyon, où elle s’exile pendant deux ans, qu’Irma reprend pied. Entourée d’instruments, elle écrit, compose, apprend à mixer et produire ses propres morceaux, redécouvre sa voix lors de cours de chants. Elle devient «artiste-entrepreneur», constituant sa propre équipe de collaborateurs. «Jusqu’ici, je ne m’étais jamais trouvée dans les codes de la féminité, on me traitait de garçon manqué car je voulais être forte et ambitieuse. J’ai enfin réalisé que c’était une qualité et non un défaut, qu’il y avait autant de beautés possibles que d’intelligence.»
Cette pluralité s’impose dès la première écoute du troisième album d’Irma, The Dawn. Mixé à Londres par Rhys Downing (Mark Ronson, Brett Anderson, Hollysiz…), il a été produit par la chanteuse, qui y réunit tout ce qu’elle aime, usant de synthétiseurs, boîtes à rythmes, guitare acoustique. On y entend du R’n’B, de la pop, du blues du folk, de la soul. Un méli-mélo qu’elle qualifie d’«afrofolk», où dialoguent plusieurs continents et moult influences, de Lauryn Hill à James Blake via Michael Jackson. Entre le dancefloor partagé en bande («Golden Glow», «Dusk to Dawn») ou la mélancolie intime dévoilée («Eye on you», «Will I ever»), The Dawn affirme la personnalité d’une artiste qui a décidé de s’affirmer telle qu’elle était, en pleine mutation. Une femme puissante naît devant nous, elle s’appelle Irma et on ne va plus pouvoir se passer d’elle.
Irma dévoile aujourd'hui une série de podcasts réalisés par Nathalie Sejean. Irma
y déconstruit chacune des chansons de son dernier album en racontant
étape par étape comment ces titres sont nés, et comment tous les
éléments qui les composent ont été assemblés.
Elle décrit également le processus très intime et solitaire de la création des chansons, les questions qu'elles ont soulevées, et les réponses qu'elles ont amenées.
I will be back, ou plutôt je reviens car un peu assez de toutes ces expressions anglaises, la langue française est tellement belle que j'essaierai au maximum de ne plus employer tous ces termes, même si j'ai donné comme sous-titre à Dame Skarlette, Mag Lifestyle, j'aurais dû opter pour "Art de Vivre".
Et oui , n'en déplaise à certain(e)s, Dame Skarlette est de retour avec une nouvelle identité - comme vous pouvez le constater, et de nombreux changements dont je viens vous parler.
Si parfois vous constatez des erreurs dans ce nouveau site, des choses qui vous perturbent, car je pense qu'il y en aura, moi-même je le lance en étant persuadée qu'il y aura des rectifications et des améliorations à apporter. N'hésitez pas, je ne me vexerai pas, dîtes le moi, si vous voyez des maladresses, car tout au long du mois d'août, et même par la suite, j'essaierai d'améliorer ce que je viens de créer avec l'aide de ma moitié. Nous sommes loin d'être des professionnels en ce qui concerne les codes HTML et autres, il y a quelques erreurs qui subsistent dont un sous le titre de chaque billet et que nous n'arrivons pas à régler : Undefinedth, Undefined, Undefinedterminé c'est fait !!! (si parfois quelqu'un veut m'apporter son aide je suis preneuse). D'avance merci.
Avant toute chose, comme vous avez dû le constater, le 30 mai de cette maudite année, jour des 10 ans du blog je me mettais sur pause, suite aux mois que nous venions de passer. Plus envie d'écrire, ni de répondre aux mails. Je ne savais vraiment pas si j'allais revenir dans la blogosphère. Après des semaines très tourmentées moralement et psychologiquement, je ne viendrai pas en dire plus, car ma vie privée est ma vie privée et le restera, mis à part pour ceux m'ayant contactée en privé et à qui j'ai bien voulu en dire plus. J'ai repris quelques billets depuis mais mon but premier était de refaire un nouveau modèle de site.
Je tiens à remercier certain(e)s attaché(e)s de presse qui se sont manifesté(e)s, qui ont pris de mes nouvelles et qui se reconnaîtront.
Quant aux blogueurs, blogueuses, un grand merci à Aurélien, Marie-Laure, Harmonie, Holy et puis des personnes sur les réseaux sociaux comme Michèle, Fille Stule, Cornélia, qui prenaient régulièrement de mes nouvelles. Sans oublier bien entendu ma famille et mes vrais amis.
Bref, maintenant que ceci est dit on ne revient plus sur le passé car désormais j'ai rayé - si l'on peut dire cette période de ma vie et je ne l'évoquerai plus - et je tente de passer à autre chose.
Ces quelques mois m'ont fait comprendre beaucoup de choses et j'ai changé, évolué, et le blog aussi. Les conditions pour écrire également..... Et oui durant 10 ans j'ai écrit quasiment tous les jours, parfois pour rien en retour n'allez pas croire. Terminé, d'ailleurs cette façon de faire. Plus bas je vais vous indiquer les rubriques toujours présentes, par contre pour en savoir plus sur mes conditions - je m'adresse plus aux attachés de presse et aux marques - il faudra vous rendre dans l'onglet PARTENARIAT, ainsi ceux avec qui je collabore sauront à quoi s'en tenir. Si ça ne convient pas tant pis, aucun problème pour moi. La vraie vie n'est pas le blog, mais mes proches. Ce qui est étrange, depuis le 30 mai je pensais perdre de nombreux lecteurs et vous avez toujours été nombreux à venir lire mes articles. D'où mon questionnement pourquoi me mettre la pression et écrire un article par jour au détriment des choses de la vie. J'ai perdu de nombreux followers sur Instagram, il faut avouer que je ne fais aucun effort par rapport à cette application, j'ai d'ailleurs remarqué que je n'y passe que très peu de temps par jour, alors que certains et certaines y passent une grande partie de leur existence, et je pense passent à côté "d'authentiques moments de la vie". Donc perdre des abonnés, je m'en fiche royal. D'ailleurs, pour info, toutes celles et ceux qui se désabonnent sont automatiquement bloqués.
Quand je vois qu'au début que j'ai commencé à écrire, je me suis parfois faite incendier par des journalistes de la presse écrite car je tenais un blog, alors qu'il y avait de la place pour tout le monde. Désormais cette même presse écrite ou télévisuelle, met en avant Instagram, je crois rêver !!!
Parlons-en d'Instagram, quel leurre !!!! Entre celles et ceux qui achètent leurs likes et leurs followers et que les marques font travailler. Il faut que l'on m'explique comment des personnes peuvent avoir plus de 10 k mais ont seulement entre 150 à 300 likes maxi (parfois beaucoup moins) !!! Avec mes pauvres (mais vrais) followers au nombre de 3910 - ça baisse car j'étais à plus de 4000 - j'ai tout de même entre 100 et 200 likes bizarre non.
Certains diront qu'ils ont beaucoup de followers et de nombreux likes. Pour une partie c'est réel, mais pour d'autres lorsqu'ils ou elles lancent des concours et n'atteignent même pas 100 participations on peut dès lors se poser des questions ????
Sans parler de toutes celles et ceux qui ne font que des partenariats, et qui incitent des personnes lambdas à acheter des produits dont ils ne pensent pas toujours du bien. Ah l'argent qu'est-ce que ça ne ferait pas faire..... D'ailleurs je déteste ce mot "Influenceur". Pour rappel l'influence c'est exercer une action sur quelqu'un ou quelque chose. Pas très sain tout cela.
Ne parlons pas des photos retouchées, dans des cadres merveilleux, alors qu'à côté des gens vivent dans la misère. On veut nous faire croire à un monde de bisounours et c'est loin d'être le cas. Après celles et ceux qui aiment cette application, libre à vous.
Bref vous l'aurez compris Instagram et moi ce n'est pas le grand amour et j'avouerai, je ne sais pas pourquoi, à chaque fois que je m'y rends, ça me rend presque cafardeuse. Est-ce ce voyeurisme avec toutes ces gens qui se mettent en scène, avec en général toujours le même genre de pause. Le fait que cette sorte de "d'exhibitionnisme" pour gagner de l'argent me dérange, que beaucoup des comptes soient une vraie régie publicitaire, je ne saurais dire ? Je trouve cette application futile et inutile, c'est pourquoi je n'y passe que 20 mn environ par jour car j'ai nettement mieux à faire. Disons qu'elle est tendance et qu'elle est devenue un vrai business, au détriment de l'humain. Dans notre société actuelle les personnes aiment voir la vie des autres, c'est ainsi. Je dois l'accepter car grand nombre raffole d'IG, je ne suis pas obligée d'y adhérer.
Je vais continuer à aborder des thèmes dont j'ai toujours parlé, mais d'autres rubriques vont voir le jour. Vous verrez !!! Ces dernières, seront créées par moi, avec aucun(e) attaché de presse derrière. Ce seront des coups de cœur, des envies comme ce fût le cas pour Gautier Capuçon. C'est d'ailleurs, suite à son concert que j'ai fait un nouveau un billet, car j'avais envie de partager ce moment avec vous, et que le plaisir d'écrire est revenu.
Il y aura moins de billets par semaine, car je me suis aperçue que je passais trop de temps à écrire au détriment de mes proches. Idem pour les évènements. D'ailleurs étant donné la conjoncture actuelle, tant que celle-ci sera instable, par rapport à certaines personnes qui me sont chères, et pour qui je ne peux pas, et ne veux pas prendre de risque, je ne me déplacerai pas, ou peu, sauf exception.
Vous trouverez donc toujours :
Crédit illustration : Vector Images pour Pixabay
La mode (y compris accessoires, bijoux et chaussures) :
- Je vous parlerai des défilés auxquels je peux assister.
- De certaines marques, mais exit certaines....
Crédit photo : Ryan McGuire de Pixabay
La beauté :
- Je vous ferai des retours d'expériences sur les produits que j'aurai pu tester.
Crédit illustration : Shafin Al Asad Protic de Pixabay
Le cinéma :
Là aussi je vais faire un choix, car il me fallait parfois, certaines semaines écrire 4 à 5 billets pour des films qui allaient sortir la même semaine.
Si un long métrage m'a réellement convaincu je ferai un billet seul, pour les autres je regrouperai sur une même page.
Crédit photo de Klaus P. Rausch de Pixabay
Spectacles, expositions, théâtre, art en général :
Je n'accepterai que ce qui me plait réellement et vous ferai un retour, ou l'annoncerai à l'avance afin que vous puissiez acheter vos places si un évènement vous convient et que vous n'étiez pas au courant.
Crédit photo : Pexels de Pixabay
Musique :
J'écoute tous les liens que l'on m'envoie et je marche au coup de coeur. Je vais continuer ainsi. Peut être regrouper plusieurs artistes sur une même page ou dans la barre latérale, ou en bas de mon blog, mettre chaque semaine, ou tous les jours, une vidéo, je ne sais pas encore. Je suis preneuse de vos idées.
Crédit photo par Дарья Яковлева de Pixabay
Alimentation, boissons, test restaurant ou d'hôtel :
Je vous donnerai un avis (franc) sur ce que j'aurai pu tester à l'extérieur ou chez moi
Crédit photo donations welcome de Pixabay
Voyage de presse :
En général je ne me contente pas de mettre des photos. Je ne demande pas à être payée en plus du voyage (si si ça existe), je vous ferai un retour dans les semaines qui suivront sur ce que j'aurai pu vivre et vous pourrez me suivre via les réseaux sociaux au moment de mon déplacement.
Crédit illustration : Gordon Johnson de Pixabay
Technologie :
Retour sur l'article avec un avis honnête
J'aimerais aussi vous parler plus souvent de luxe. Même si ça reste forcément inaccessible pour beaucoup, ça fait rêver certains lecteurs.
Pour tous ces thèmes, j'invite les attachés de presse, ou les marques, à voir mes conditions de partenariat (ici). De plus, je précise que tous les dossiers de presse que je peux recevoir juste pour m'informer dans l'espoir que je publie, partent directement à la poubelle.
En ce qui concerne toutes ces plateformes, dont je ne citerai pas les noms mais qui court-circuitent les agences de presse, même si parfois j'ai posé ma candidature, je n'ai plus trop envie d'y aller.
On demande de poster dans un certain délai, on oblige les personnes à dire ceci, cela, à se mettre en photo (non merci je ne me montre pas). Trop de choses sont déterminées, et moi je dis non à cela. On ne m'impose rien. Mon site web est à moi, et je n'ai pas à rendre de compte même pour un produit que l'on m'a envoyé. Trop de conditions sont dictées et je me refuse à rentrer dans ce système.
Quant à toutes ces agences qui m'ont "oubliée" ces dernières années, pour qui j'avais fait de nombreux billets, et qui n'ont plus donné de nouvelles du jour au lendemain, je les remercie pour leur politesse, pour le cas qu'ils font des personnes, mais elles m'ont fait prendre conscience de beaucoup de choses, m'ont fait évoluer, et j'avoue que grâce, ou à cause d'elles, je boycotte, et j'ai incité mon entourage, à boycotter des marques dont elles s'occupaient.
Voilà j'en ai beaucoup écrit. Dérangera, dérangera pas, quelque par je m'en fiche.
Ceux qui voudront toujours collaborer avec moi tant mieux et pour les autres bonne continuation. Pour les lecteurs, je vous remercie de toujours passer me lire.
Si vous lecteurs, lectrices, vous avez envie de certaines chroniques, passez me le dire, toute proposition est la bienvenue et je l'étudierai. D'avance merci.
Pour une fois, si ça vous tente, c'est une première, j'en dis un peu plus sur moi et vous livre même une photo dans "Description".
Ce post est un exutoire et ça fait un bien fou de dire - en partie - ce que j'ai à dire.
Crédit photos : PL pour Dame Skarlette
I will be back, ou plutôt je reviens car un peu assez de toutes ces expressions anglaises, la langue française est tellement belle...