Musique, Théophile présente son EP Troisième dizaine
Dès la première écoute j'ai été interpelée par les morceaux de Théophile, et plus particulièrement par le titre Photo Photo qui me parle vraiment. Étant toujours une adepte des blogs qui demandent écriture, et beaucoup de travail, je n'ai jamais caché que je n'appréciais que très peu les réseaux, surtout Instagram et autres sites qui mettent en ligne la vie de personnes, avec photos ou vidéos à l'appui. En effet, pour moi ce genre qui cherche à vendre, en faisant de la publicité avec de l'argent facile, cette démonstration de corps et ce voyeurisme, ne m'intéresse guère. On peut donc dire qu'avec ce titre il a fait mouche en ce qui me concerne.
Le reste de l'EP est tout autant attrayant et il est donc à découvrir le 23 mai prochain.
A propos de Théophile :
Au crépuscule de sa troisième dizaine, cet Angevin aux longs cheveux blonds et à la carrure imposante a la sensibilité de ceux que tout émeut. Théophile est l’enfant du coin. De tous les coins dont on s’intéresse peu. Au fil des années, il a ainsi peaufiné une musique qui lui est sienne, une Chanson française où le texte, bien ancré dans sa réalité, se confronte à une rythmique qui est celle du monde connecté : digitale, inspirée, décloisonnée… vivante. .
Alors que les considérations sociales et écologiques font partie de ses réflexions quotidiennes et de ses engagements, c’est autour d’autres axes que s’articulent les chansons de son répertoire : l’amitié, la fidélité, la résilience, et le pardon trouvent leur écho dans les 2 EP de sa discographie.
Après plusieurs collaborations avec Rouquine, Babeth de Dionysos ou Cabadzi, Théophile revient avec un projet plus abouti que jamais : Troisième Dizaine, prévu pour mai 2025. Porté par une écriture encore plus poétique et des productions électroniques modernes, mêlant influences afrobeats et chanson française, ce troisième EP promet de capturer des sujets universels avec une sensibilité unique.
A propos de l'EP :
Comme un fil rouge, la santé mentale est au coeur du projet. Après la déconnexion émotionnelle vient la quête d’identité sociale et spirituelle (“Soleil”) qui aboutit à une phase d’acceptation et de libération : la “Troisième Dizaine. La trentaine de Théophile ne rime pas avec crise. Au contraire, c’est une renaissance lui permettant de s’affirmer et de s’émanciper des carcans de la vingtaine.
Faisant passer le titre de ballade à morceau dansant. Sans oublier le titre qui fait résonner la Palestine, “Souimanga” (du nom de l’oiseau décrété symbole national par l’Autorité Palestinienne) qui reprend une rythmique amapiano. Sur ces fusions de styles, la voix de Théophile crée du liant avec une interprétation qui varie d’intensité et d’émotion au fil des textes. Rendant l’écoute toujours surprenante.
Capable d’aborder des thèmes lourds de sens en nous faisant vibrer, Théophile créé un équilibre entre une musique solaire et des écrits empreints de spleen. Rendant hommage à son ami Nino Vella avec une version orchestrale de leur featuring “Poisson Volant”, l’artiste se livre à travers un EP qui invite à l’introspection tout en nous faisant danser, pour enfin se libérer des contraintes de la vingtaine.
Après « Poisson Volant » feat. Rouquine (500k écoutes sur Spotify) et plusieurs singles extraits de son nouvel EP playlistés et diffusés en radio, Théophile s’apprête à publier Troisième Dizaine le 23 mai. Un projet qui explore autant les défis de la trentaine que la chanson française en la mêlant à une foule d’influences : de l'électro à la musique cubaine en passant par la pop.
Release Party
Crédits photos © Martin Fournier - vidéo : Théophile
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